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Samedi 6 mars 6 06 /03 /Mars 14:09

Je n’ai pas l’habitude de me faire parler de cette façon et je suis surprise de ma propre réaction. Oui, cela m’excite, mais en même temps, ma conscience me dit que ce n’est pas correct. J’ai honte de me sentir exciter, d’éprouver du plaisir à me faire traiter de salope. Avec ma bonne éducation, mon cerveau a été programmé à ne pas accepter ce genre de langage, mais mon corps en dit autrement.

Madame Léa a toujours la main dans ma culotte et caresse ma chatte. Je sens un doigt me pénétrer, puis un deuxième. Ses doigts bougent en moi, je les sens s’ouvrir comme pour élargir mon vagin. Je sens son pouce qui caresse mon clito. C’est comme le bouton pressoir pour m’amener vers la jouissance. Mon excitation monte en flèche et c’est à ce moment que Madame Léa enlève sa main de ma culotte et me montre ses doigts mouillés.

-          Regarde comme tu mouilles.

Ses doigts gantés étaient remplis de mon jus. Elle approche sa main de ma figure et je pouvais sentir mon odeur.

-          Lèche mes doigts et goûte à ton jus.

J’ai eu un mouvement de recul. Jamais je n’avais goûté au jus d’une femme, pas même le mien.

-          C’est la première fois?

-         

J’ai honte. Je ne peux pas avouer que je n’y ai jamais gouté. J’ai vraiment l’air d’une idiote maintenant. Comme je n’ai pas répondu, Madame Léa a ouvert d’environ deux pieds le rideau blanc. Il faisait déjà noir à l’extérieur et même si le rideau n’était pas complètement ouvert, on pouvait toujours me voir.

-          Alors? Tu réponds cette fois?

-           Oui Madame.

-          Oui quoi?

-          Oui Madame c’est la première fois.

-          Alors, il y a une première à tout! Lèche maintenant.

J’ai ses doigts sur mes lèvres. J’ai alors sorti ma langue et en fermant les yeux, j’ai commencé à lècher les doigts de Madame Léa.

-          Regarde-moi.

J’ai ouvert les yeux et je l’ai regardé. J’ai vu qu’elle avait un merveilleux sourire. Madame Léa était fière de moi, et cela m’a encouragé.

-          C’est bien ma petite lili. Je te promets que tu apprendras à aimer ce doux    nectar féminin.

Devant moi, je vois mon propre reflet dans la fenêtre. Je regarde mon image, les seins sortis de mon soutient, ma culotte à mi-cuisse et exhiber devant la fenêtre. Je me sens idiote et je n’en reviens pas de ce que je viens de faire. J’ai vraiment honte de moi. Est-ce vraiment ce que je veux? Est-ce vraiment ce dont j’ai envie et ce pour quoi je suis venue? Je sens mon cœur s’accélérer et je sens que je vais maintenant tout arrêter…

lili
soumise de Madame Léa

Par lili - Publié dans : Début
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Lundi 1 mars 1 01 /03 /Mars 16:24

Après un temps qui m’a paru une éternité, Madame se lève et vient près de moi. Son regard est sur moi et elle m’examine de haut en bas. Le fait d’être à moitié nue devant cette femme qui elle, est tout habillé est vraiment humiliant. Je sens ses mains sur mes épaules. Je me rends compte à ce moment qu’elle porte de longs gants de cuir. Ses mains descendent le long de mes bras en palpant. Elle fait tout le tour de mon corps en le palpant. Comme quelqu’un qui vérifie la marchandise. Elle s’attarde un peu plus sur mes seins qu’elle palpe un peu plus fortement ainsi que mes fesses.

-Écarte les jambes.

J’écarte les jambes et je sens une main par-dessus ma culotte sur mon sexe, mais cette fois elle le caresse et cela fait monter mon excitation. Ses mains remontent sur mes seins et les faits sortir de mon soutient. Elle les caresse, les soupèse, prend mes mamelons entre ses doigts et les fait rouler. Je grimace sous la douleur. Elle tire sur les mamelons de façon à soulever mes seins vers le haut. Je gémis de douleur et ma respiration s’accélère.

-Tu aimes qu’on tire tes mamelons?

Ha non! Je ne pouvais pas répondre à cela! Pas maintenant! Elle lâche soudainement mes seins qui retombent et va ouvrir encore une fois les rideaux. Il ne reste maintenant qu’un seul rideau blanc qui est fermé.

-Alors?

-Oui Madame.

-Oui quoi?

-Oui Madame j’aime qu’on tire sur mes mamelons.

-Je crois que je vais avoir beaucoup de plaisir avec tes seins. Par contre, je les trouve un peu trop sensibles. Il faudra y voir.

Elle reprit mes seins à pleines mains et je sens ses doigts s’incruster dans ma chair. Elle serre tellement fort et j’ai tellement mal que j’ai un mouvement de recul. Et CLAC! Ses deux mains gantées s’abattent sur mes seins.

-Et ta peau rougit facilement.

Je sens ma poitrine qui brûle sous la douleur. J’ai mal, mais en même temps je me sens encore plus excité. Et je crois que Madame le savait, car elle délaisse ma poitrine pour s’en prendre à ma chatte. Elle glisse sa main dans ma culotte et je sens un doigt qui glisse entre mes lèvres.

-Tu mouilles comme une vraie salope!

Je suis surprise du langage cru de Madame Léa et ce n’est rien pour me calmer...

lili
soumise de Madame Léa
Par lili - Publié dans : Début
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Dimanche 21 février 7 21 /02 /Fév 12:47
J’étais planté là debout devant la table sur laquelle il y avait ma valise contenant mon coffre à jouets. J’entendais les pas de Madame Léa qui s’avançait vers moi. Je me souviens qu’à ce moment j’ai pensé que si j’avais laissé les rideaux ouverts, j’aurais pu au moins voir son reflet par la fenêtre et essayer de deviner ce qu’elle faisait. Au lieu de cela, je n’avais que le bruit qui parvenait à mes oreilles pour essayer de deviner ce qui se passait derrière moi. J’étais comme pétrifié et je n’osais pas me retourner. J’avais froid et je tremblais. Je fermais les yeux pour essayer de me concentrer sur les bruits. J’entendais derrière moi la porte de la garde-robe s’ouvrir et se refermer. Un sac qu’on dépose par terre. Encore la porte de la garde-robe. J’ai pensé, à ce moment, que peut-être qu’il n’y avait pas seulement Madame derrière moi. J’ai soudainement eu très peur et j’ai sursauté en criant lorsque j’ai senti une main sur mon épaule. Cette main se voulait pourtant douce et rassurante. Madame était derrière moi et me caressait les épaules pour me rassurer. Puis elle m’a murmuré à l’oreille :

-Tu as fait le bon choix lili. Je te promets que tu n’auras jamais de regrets.

Puis elle m’embrassa dans le cou. Ce baiser, elle le savait pour en avoir déjà discuté ensemble, me donnait toujours des frissons sur tout le corps. Elle est restée un moment derrière moi. Je me sentais examiner, et j’étais mal à l’aise. Je ne savais pas trop ce que je devais faire. Est-ce qu’elle attendait de moi quelque chose, un geste de ma part? Mais j’ai su plus tard que ce n’était que le début.

Elle s’est tranquillement dirigée devant moi et a regardé le contenu de ma valise. J’avais maintenant honte. Qu’est-ce qu’elle doit penser de moi maintenant? Sans même un mot, une expression dans le visage ou quelque chose pour me donner un indice, elle s’est assise sur le fauteuil. Elle est restée un moment ainsi, à me regarder sans dire rien, et moi je regardais le sol et j’avais honte. Je n’osais pas la regarder.

-Déshabille-toi. Garde uniquement ta lingerie, tes bas et tes chaussures.

Avec le ton qu’elle l’a dit, c’était sans aucun doute un ordre. Mais c’était si soudain et tellement inattendu pour moi que je suis rester figé sans bouger. Alors, Madame Léa s’est levée et a ouvert un peu les rideaux plus épais.

-Je vais les ouvrir chaque fois que tu me feras répéter. Maintenant, déshabille-toi.

Je me déshabille lentement. Prenant le soin de plier mes vêtements et de les disposés sur la chaise devant moi. Je regarde le sol, rouge de honte. Je sens qu’elle me regarde, m’examine. C’est interminable. Je ne sais pas quoi faire. Est-ce que je dois mettre mes mains derrière mon dos, sur la tête? Est-ce que je dois prendre une de ces positions de soumise? Je me sens idiote. Plus elle me regarde, et plus je me sens ridicule. C’est long, c’est beaucoup trop long...

lili
soumise de Madame Léa
Par lili - Publié dans : Début
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Samedi 13 février 6 13 /02 /Fév 21:41

Dans le milieu de la semaine, j’ai reçu des instructions de Madame Léa. Si je voulais d’une relation de soumission, je devais me rendre à cette rencontre, le samedi suivant et y être à l’heure.

C’est donc avec appréhension et excitation que je me suis rendu à l’hôtel H et  j’ai demandé la clef de la chambre de Madame Léa.  J’étais maintenant dans l’ascenseur et mon cœur battait de plus en plus fort. Chaque étage augmentait mon rythme cardiaque. J’avais avec moi, dans une valise, le contenu de «Mon coffre à jouets ». Madame savait que j’avais un coffre à jouets et voulait en vérifier elle-même le contenu. Devant la porte de la chambre, j’ai pris un temps d’arrêt.  J’avais les jambes molles et le cœur voulait me sortir de la poitrine. Je me suis demandé si c’était vraiment ce que je voulais. J’ai pris une grande respiration et j’ai glissé la carte dans la fente pour faire déclencher le mécanisme d’ouverture de la porte. L’ouverture vers ma nouvelle vie.

À ma droite il y avait une salle de bain avec une douche immense, un grand comptoir de marbre et un grand bain. En face de la salle de bain, il y avait une garde-robe avec des portes-persiennes, ainsi qu’un petit comptoir avec cafetière et un petit réfrigérateur en dessous. J’ai avancé un peu plus loin encore. Devant moi, au fond de la pièce, il y avait une table ronde et une chaise placer au milieu d’une immense fenêtre qui faisait presque la largeur de la chambre. À la droite de la table, il y avait un fauteuil.  À ma gauche il y avait un meuble télé et à ma droite un très grand lit. J’ai trouvé la chambre très luxueuse. Sur le lit il y avait une note :

« Tu as maintenant décidé de m’appartenir et je t’en félicite. J’aimerais maintenant que tu enlèves ton manteau. Tu placeras ta valise que tu laisseras ouverte sur la table. Tu fermes les rideaux et tu te places devant la fenêtre, dos à la porte. Tu attendras ainsi mon arrivée. »

J’ai donc déposé sur la table ma valise que j’ai ouverte. J’ai ensuite enlevé mon manteau que j’ai accroché dans la garde-robe et j’ai fermé les rideaux. J’ai jeté un petit regard à ma tenue dans le miroir et j’ai pris place devant la fenêtre. Après quelques secondes d’attente, je me sentais déjà ridicule. Qu’est-ce que je fais ici? Qu’est-ce qu’il va m’arriver maintenant? Je regardais devant moi le contenu de ma valise et j’ai eu des frissons. Godes, vibro, pinces, poids, cordes, plug, martinet, ce sont tous des trucs qui m’appartient, mais maintenant je me demande si Madame s’en servira maintenant et comment elle les utilisera. Ne pas avoir le contrôle de ce qui arrivera, voilà ce qui me faisait peur, je crois. En même temps, je trouvais cela excitant. Je sentais mon entre-jambes s’humidifier. C’est ce mélange de peur, d’excitation, de perte de contrôle qui me rend folle. Je suis dans les montagnes russes des émotions.  Je me dis que si j’hésite encore, c’est peut-être que je ne suis pas à ma place. Il est encore temps de partir et Madame aura pensé que je ne suis jamais venue…

C’est dans ses réflexions que j’ai soudainement entendu le déclic de l’ouverture de la porte qui m’annonça l’arrivée de Madame Léa...


lili
soumise de Madame Léa

Par lili - Publié dans : Début
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Dimanche 31 janvier 7 31 /01 /Jan 10:32

Suite à cette rencontre où j'avais dit à Madame Léa que j'acceptais d'être Sa soumise, j'ai reçu un courriel qui me disait qu'Elle était heureuse de ma décision et que maintenant Elle devait me faire passer un test d'appréciation de la marchandise. Selon les résultats, Elle décidera si Elle accepte ma candidature comme soumise. Ce test aura lieu dans deux semaines et Elle me contactera pour me donner les instructions.
Je suis restée figée devant mon écran. Je n'en revenais pas. J'étais certaine que lorsque j'ai accepté dans ce restaurant, c'est qu'Elle le voulait aussi. J'ai senti toute la confiance en moi fondre comme neige au soleil. J'étais certaine qu'Elle ne m'accepterait jamais comme soumise. Je n'ai pas un corps de déesse et je n'ai jamais été soumise à une femme. Je n'y connais rien.
En même temps, j'étais en colère contre Elle. Si je n'étais pas encore Sa soumise, pourquoi m'a t'Elle fait subir cette humiliation au restaurant? Donc j'avais fait tout cela pour rien?
J'ai passé quelques jours à réfléchir avec un mélange de rage, de déception, de peur et de frustration. Aujourd'hui avec le recul, je crois que je me sentais tombé en chute libre dans un grand ravin. C'est probablement par instinct de survie que j'ai écrit un courriel à Madame Léa lui disant qu'il était inutile de poursuivre, que de toute façon, Elle ne voudrait pas de moi. Afin de ne pas subir cette humiliation, ce rejet, je ne me rendrais pas à cette rencontre.
J'ai passé le week-end suivant comme un zombie. Je n'étais plus rien. J'avais un grand vide à l'intérieur de moi. Je ne peux même pas dire que c'était de la rage, de la déception ou quoi que ce soit. C'était le vide. Depuis l'envoi de mon courriel, l'ordinateur était resté fermé. Je restais allongé dans mon lit à regarder les étoiles sur le plafond de ma chambre.
Le dimanche soir, mon téléphone sonna. J'ai vu que c'était Madame Léa. Mon coeur s'est mis à battre très fort. Est-ce que je voulais répondre ou je laissais sonner? J'ai laissé sonner et j'ai finalement répondu.
-Allo.
-Bonjour lili.
-Bonjour.
-J'ai reçu ton courriel...
-...
-Je t'ai répondu. Est-ce que tu as lu?
-Non, je n'ai pas ouvert mon ordinateur.
-Va le lire.
-Madame, je ne vais pas très bien et j'aimerais mieux ne pas le lire pour me sentir encore une fois rejeter.
-Pourquoi rejeter? Pourquoi encore?
-...
-Tu as décidé toi même que j'étais pour te rejeter.
-...
-Tu crois vraiment que c'est ce que j'ai envie de faire de toi? Tu crois que je t'appellerais aujourd'hui si je voulais te rejeter?

Nous avons commencé à discuter. J'ai expliqué à Madame Léa comment je me sentais et pourquoi j'étais certaine qu'elle allait me rejeter. Elle m'a dit que mon corps, elle l'avait déjà vu. Peut-être pas nu, mais nous avions déjà fait une rencontre
et pour Elle, il n'y avait pas de problème. Sinon Elle n'aurait pas continué nos conversations et n'aurais pas cherché à me revoir. Elle aimerait réussir à me faire accepter mon corps et en être fière. Ce test d'appréciation de la marchandise est simplement un moyen pour Elle de connaître ma sensibilité physique, le grain de ma peau, etc. Elle m'a aussi demandé de réfléchir à ce dont j'avais vraiment envie, ce qui m'attirait dans cette relation.
Au fur et à mesure de notre conversation, je sentais cette confiance en moi revenir tranquillement. Je crois que Madame Léa avait les mots pour me rassurer. J'ai accepté d'y réfléchir pendant la semaine.
lili
soumise de Madame Léa.

Par lili - Publié dans : Début
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